Cette “loi” de base en physique quantique stipule que l’observateur influence le résultat d’une expérience par le simple fait de sa présence.
Une simple expérience, dite de la “double fente” ou des “fentes de Young“, du nom du physicien qui en fit pour la première fois l’expérience, en 1801, montre ce phénomène étrange…
Voici la chose expliquée en dessin animé :
Ce que l’on appelle la “réduction de la fonction d’onde” est très bien théorisé, en physique. Et pour l’anecdote, mais elle est significative, le signe mathématique de la fonction d’onde est Ψ “psi”, le signe grec.
Voici une petite vidéo qui vous montre comment reproduire l’expérience simplement, à la maison.
Beaucoup de gens pensent qu’avoir un impact sur la “réelle réalité” est le fait de personnes hors du commun, qui méditent depuis des dizaines d’années dans des grottes isolées au Tibet 😀
En réalité, toutes les consciences ont un impact sur la réalité (donc sans doute tout ce qui existe).
Démonstration avec des petits poussins qui prennent un robot pour leur maman (phénomène d’Empreinte, Konrad Lorentz). Le robot est animé de mouvements aléatoires – donc, il n’a aucune raison particulière de se rapprocher des poussins. Pourtant, il le fait, comme attiré par le désir des petits qui veulent leur “maman” plus près d’eux !
On ne peut pas dire que les poussins sont des “consciences supérieures”, ayant médité des années pour parvenir à attirer à eux une machine ! Et pourtant, ils le font…
Pensez bien que nous sommes bien évidemment aussi “conscients”, au moins autant (et on peut espérer peut-être un peu plus) que ces poussins. Nous avons donc, volontairement ou non, un impact sur notre réalité. C’est ainsi.
Le “remote viewing” est la capacité de “voir avec sa Conscience”, donc quelle que soit la distance ou le temps qui sépare le viewer de sa cible. Ce n’est pas à proprement parler de la “voyance”. C’est plutôt l’art de se servir de notre esprit.
Jo McMoneagle est un des remote viewer les plus connus. Il travaillait auparavant pour les services secrets américains et le Stanford Research Institute dans le cadre du Stargate Project (aujourd’hui déclassifié), jusqu’au milieu des années 1990.
Démonstration (émissions “Sixième Sens”, Arte, 2004) avec Maud Kristen et Mario Varvogli qui dirige l’Institut Métapsychique International. Une expérience étonnante, filmée à Paris. :
Notez que, techniquement, en Hypnose Humaniste, on explique ce phénomène par le fait que la Conscience est un champ unifié d’informations : tout est relié, tout communique. Et la Conscience est précisément ce qui nous donne vie et… conscience ! Il devient alors plus compréhensible, et quasi “normal”, que nous puissions apprendre à nous servir de ce qui est, par nature, notre essence la plus profonde.
Notez que certaines personnes utilisent le terme de “télépathie” (littéralement : ressentir à distance), ce qui égare et prête à erreur, car si on s’imagine une quelconque distance entre les choses, cela rend plus difficile la tâche de prendre un contact “à distance”… Alors que si on s’imagine que le contact est déjà présent et qu’il suffit d’en prendre conscience, cela devient déjà plus acceptable et facile.
. A lire : “Ouverture sur l’Infini”, Stephan A. Schwartz;, Editions Trajectoire
Pourquoi un gland ne donne-t-il jamais un palmier? Comment votre visage garde-t-il sa forme alors que ses cellules changent? Et si ce n’étaient pas les gènes qui définissent les formes? Trente ans après son émergence, la théorie hérétique du “champ de force” continue à diviser la communauté scientifique.
Comment définissez-vous la résonance morphique ?
C’est l’influence qu’exerce tout système auto-organisé passé sur les systèmes homologues présents. Atomes, molécules, cellules vivantes, plantes, animaux, sociétés, cultures, systèmes solaires, galaxies, sont des systèmes auto-organisés. Nos machines n’en sont pas, mais nos comportements ou nos pensées en sont. Chaque système se présente sous une certaine forme. La résonance morphique suppose que cette forme est comme mémorisée quelque part, dans un « champ morphique », ou « champ de forme ». Prenez des pratiques nouvelles telles que le skate-board ou la navigation sur Internet : plus leurs adeptes sont nombreux, plus leurs champs de forme se renforcent et plus ces pratiques deviennent faciles à mettre en œuvre.
Rupert Sheldrake est un biologiste connu pour ses découvertes sur les mécanismes de vieillissement cellulaire (aujourd’hui enseignés dans les facultés de médecine du monde entier).
Sa “présentation” sur Wikipedia, ridiculement erronée, le qualifie de “parapsychologue” (ce qu’il n’est bien évidemment pas), utilise des termes sulfureux comme “télépathie”, etc. et ne parle même pas de ses découvertes dans le domaine de la biologie… Voilà qui devrait vous montrer qu’il faut toujours vérifier ce que l’on trouve sur internet – et notamment sur une “encyclopédie” en ligne écrite par le premier venu, pas forcément animé de bonnes intentions !
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A propos des bêtises que l’on trouve sur Internet…
Dans le même genre, l’article “hypnose” de Wikipedia est truffé d’erreurs historiques et techniques. Même des dates facilement vérifiables sont fausses… Et je ne parle même pas des âneries techniques qu’ils racontent !!! Ils entretiennent la mauvaise image de l’Hypnose véhiculée par les médias et les films fantastiques.
Et, malheureusement, il est impossible de corriger cette page, tenue par un “lobby” d’incompétents qui effacent systématiquement toute correction, même référencée ! Il faut juste le savoir… NE PAS se référer à cette page honteuse, qui ne fait qu’induire en erreur et entretenir des mensonges (heureusement que je n’y figure pas, au risque de paraître avoir participé à “ça” 😛 ).
Sur Wikipedia, même quelque chose d’aussi concret qu’un composé chimique est mal nommé : sur cet article qui concerne les mots les plus longs de la langue française, il est écrit que le nom commun du chlorure d’aminométhylpyrimidinylhydroxyéthylméthythiazolium est la “vitamine B2” (riboflavine).
Pourtant, il est facile de vérifier qu’il n’y a aucun de ces ingrédients dans la vitamine B2 (7,8-Dimethyl-10-[(2S,3S,4R)-2,3,4,5-tetrahydroxypentyl]benzo[g]pteridine-2,4-dione).
Par contre, quand on prend les composants de la vitamine B1 (2-[3-[(4-Amino-2-methyl-pyrimidin-5-yl)methyl]-4-methyl-thiazol-5-yl] ethanol) cela correspond !
Mais qui vérifie ?… Personne, ou rarement… Coup de chance, sur cette page, aucun imbécile n’a réécrit une bêtise lorsque l’info correcte a été replacée (ouf !).
En ce qui concerne la vitamine B1 ou B2, ce n’est peut-être pas important pour vous, mais ça peut l’être pour quelqu’un d’autre. Et combien de choses avez-vous cru apprendre et qui sont en réalité complètement fausses ?…
Je m’arrache les cheveux en pensant à toutes les idioties que j’ai cru vraies, pour les avoir lues ou entendues, affirmées… et, en vérifiant (ce que l’on fait rarement, mais il faudrait) : c’était complètement faux !
Mettant un point d’honneur à ne pas raconter d’âneries durant mes formations, les “fakes” m’énervent au plus haut point (et on en trouve même dans des parutions qui se prétendent de “débunking” – qui rétablissent, soi-disant, la vérité… et puis, non, encore une ânerie !).
Ce “trouble” porte un nom. C’est l’ultracrépidarianisme : le fait de donner son avis ou d’expliquer alors qu’on n’en a pas les compétences.
Le souci, c’est que les personnes qui font ça ne s’en rendent pas forcément compte – ce qui est l’effet principal d’un syndrome sévère, étudié par Dunning et Kruger (et qui a pris leur nom)… Je vous laisse rechercher à ce propos 🙂
Donc, lorsque vous lisez quelque chose : vérifiez-le ! Même si cela vient d’un lien de ce blog (surtout sur Wikipedia) : un bout de l’article peut être bien, mais truffé tout de même de bêtises – apprenez à discerner le vrai du faux et à faire la part des choses !
Sur ce site lui-même, je vérifie tout… mais si vous voyez une erreur, signalez-le 🙂
Certains physiciens et autres matérialistes (qui feraient mieux de réviser leurs notions de base en sciences !) critiquent parfois ceux qui s’appuient sur des expériences ou des principes de physique quantique pour illustrer des phénomènes psychologiques (lire aussi).
Bien évidemment, il est malheureux qu’il existe des abus (nombreux !), grossièretés et exagérations. Ce n’est toutefois pas une raison pour tout rejeter en bloc. C’est un peu facile… Après tout, le prix Nobel de Physique quantique Wolfgang Pauli travailla pendant plus de 20 ans avec Carl G. Jung, sur les synchronicités, la symbologie, etc. De très nombreux physiciens (et autres scientifiques) ont ainsi également été philosophes, à travers les siècles et encore aujourd’hui… Il n’y a donc aucune raison de séparer la recherche en physique de la philosophie ou de la psychologie.
Réenchanter la science (Sheldrake)
Les croyants en la doctrine du matérialisme n’ont jamais pu prouver leur croyance en un monde purement matériel, chimique, et sans vie (à ce propos, lisez Karl Popper, philosophe des sciences). Leurs opposants, majoritaires (et de très loin !) qui pensent que quelque chose donne vie à tout, que “la vie” existe, s’appellent des “vitalistes“. Eux non plus n’ont pas toujours d’arguments solides pour étayer leur conviction…
L’argument que les matérialistes avancent le plus souvent pour essayer de nous faire croire que le monde quantique n’interagit pas avec le monde macroscopique (à notre échelle humaine) est que… “c’est pas possible”… 😀 (argument scientifique, remarquez-le !)… En oubliant un peu vite que la physique quantique est déjà dans notre quotidien, par exemple dans votre ordinateur, votre téléphone cellulaire, votre lecteur CD, le “bipper” qui compte vos articles à la caisse du supermarché, etc. Ce que tout bon scientifique doit forcément savoir…
Voici donc un exemple visible de ce champ quantique, à notre niveau de réalité. La supraconductivité permet (entre autres) ce que l’on appelle la “lévitation quantique” : un disque supraconducteur se fait “coincer” dans le flux quantique, en plein air… et il flotte, littéralement bloqué dans ce champ invisible : on peut le déplacer et le “recoincer” à un autre endroit, ou en biais, et il continuera à flotter, coincé dans un flux intangible et dans lequel, pourtant, nous vivons tous (certes moins dense quand on ne le refroidit pas à ce point !)…
Ici, l’équipe du labo MPQ (“Matériaux et Phénomènes Quantiques”) de l’Université Paris Diderot construit le skateboard de “Retour vers le Futur” ! Et ça marche ! 🙂
Plus d’infos pour les curieux : “la supraconductivité, découverte il y a cent ans, est une manifestation particulièrement marquante de la physique quantique à l’échelle humaine : les nombreux électrons du matériau se regroupent dans une même onde quantique qui s’étend sur de très grandes distances.” Etc. (cliquez ici)
Nous baignons bien dans un océan quantique. Notre cerveau fonctionne grâce à des mécanismes quantiques… Et un des premiers principes de la physique quantique énonce que “l’observateur a un impact sur l’expérience mesurée”… au point d’empêcher la mesure de la plupart des phénomènes ! Autrement dit : votre conscience, vos émotions distordent – et modèlent ainsi – votre vie en temps réel…
Il faudrait déjà admettre cela. Ensuite, apprendre à se servir de ce fait. C’est le but de l’Hypnose : apprendre à connaître et à utiliser notre esprit.
A lire : “Réenchanter la science“, du biologiste Rupert Sheldrake, un excellent livre qui explique sur quels dogmes repose la science matérialiste, aujourd’hui dépassée et limitante pour les découvertes scientifiques à venir… et notre psychologie !
Très bon documentaire du physicien Brian Green qui explique les bases de la physique, de la physique quantique, de la Théorie des Cordes – depuis les débuts (on comprend mieux ce que l’on a tenté de nous apprendre à l’école !) et jusqu’aux progrès actuels…
Bien sûr, ce sont les bases, mais parfois il est bon de les réviser.
Je fais le vœux que chaque être humain prenne conscience de la source de ses discordes avec “les autres”…
S’il vous plait, lorsqu’il vous vient l’idée de critiquer “les autres”, de les juger, d’avoir peur pour telle ou telle chose : demandez-vous d’où vous viennent ces idées !
Où les avez-vous entendu la première fois (parents, amis, TV, radio, journaux) ? Comment savez-vous que telle ou telle chose est “bien” ou “mal”, “dangereuse” ou “bonne pour vous” ?… Avez-vous vérifié la source de cette “info” ?
Et surtout : “à qui profite la situation” ? La peur, les conflits… A qui cela profite-t-il ?
Vous aurez tôt fait de découvrir que la réponse est toujours la même : tout cela profite à une infime minorité à la recherche de pouvoir (argent, politique, religions).
“Diviser pour mieux régner“… Le principe existe depuis la Grèce antique !
Alors, la prochaine fois que vous ressentez le besoin ou l’envie de critiquer, juger, médire, etc. Même (et surtout) si vous avez l’impression que ces idées viennent de vous… Réfléchissez : “à qui profite le crime ?” Quel bénéfice à la discorde ?
Cessons de jouer leur jeu ! Ni dupes, ni soumis ! Aimons-nous les uns les autres 🙂
Vous ne pouvez pas être passé à côté de cette jolie vidéo… si ?
Dans la vie de tous les jours, nul besoin de se serrer dans les bras pour partager une étreinte amicale. Un regard bienveillant, un sourire suffisent à réchauffer le coeur et amener de l’humanité dans la grisaille quotidienne.
En thérapie comme en coaching, il est de coutume que l’intervenant se “synchronise” sur son patient (ou son “client”, en coaching). Cela consiste à bouger, penser et, si possible, ressentir les choses le plus possible comme la personne. C’est d’ailleurs la première chose que l’on apprend à faire en formation.
D’abord, cela crée une bonne ambiance, ensuite cela évite les “projections personnelles” de l’intervenant, qui reste ainsi calqué sur la façon de penser et de ressentir de la personne. C’est aussi ce qui donne de l’intuition à l’intervenant, afin qu’il puisse réaliser une séance aidante pour la personne.
Le souci, c’est qu’en “fusionnant” (si on peut dire) avec la personne, l’intervenant pourrait inconsciemment “imbiber” de mauvaises choses pour lui – des éléments qui font déjà du mal à la personne et que l’intervenant adopterait involontairement.
Il est donc habituellement recommandé de ne PAS entrer en synchronisation avec les personnes les plus malades : se mettre en “empathie” (comprendre la personne), oui, mais pas en “sympathie” (étymologiquement : “souffrir avec“)… Malheureusement, cela rend la thérapie difficile et aléatoire (plus d’intuition thérapeutique) et ce sont les personnes qui souffrent le plus qui ont le plus besoin d’aide !
La solution en Hypnose Humaniste
L’Hypnose Humaniste repose sur de nombreuses bases issues de la physique – autant et sinon plus que sur la psychologie – bien que cela puisse paraître étonnant.
L’avantage, c’est que cela permet de trouver des solutions aux problèmes de l’ancienne psychothérapie. Par exemple, on sait en physique ce que c’est qu’un “effet d’entrainement” : la vibration la plus forte entraîne la plus faible.
Démonstration :
On voit que les métronomes, grâce à leur base de connexion commune (en thérapie, la synchronisation fait office de “base commune”) finissent par se mettre au même rythme.
Le premier métronome est réglé à 192 battements par minutes ; le second est réglé sur un rythme moins rapide… Voyez comment le métronome le plus lent va s’efforcer de prendre le rythme du métronome plus rapide – lequel l’attend parfois un peu, juste pour le laisser se mettre en phase avec lui !…
En Hypnose Humaniste, le thérapeute (ou coach), solidement ancré dans la vibration de la Vie grâce à l’état augmenté de conscience, va réussir à ré-insuffler cette “vibration de vie” à son patient, jusqu’à ce qu’il retrouve la santé, par simple “effet d’entraînement”.
Alors qu’en thérapie ou coaching habituel l’intervenant se faire “entraîner” par le patient (au risque de tomber lui aussi malade !), ici le thérapeute joue bien son rôle de soutien et aide la personne à aller mieux. Cela semblerait naturel… pourtant, ce n’est pas ordinaire.
Pourquoi les coachs et thérapeutes habituels se font-il “happer” par les soucis de la personne ?Parce que le vide de la personne (son “manque d’énergie”, si on veut parler en métaphore) aspire l’énergie du thérapeute ou du coach !
Or, si ce dernier était connecté à la Vie tout entière, la personne pourrait “se servir” sans que l’intervenant en pâtisse. Il faudrait donc qu’il soit “connecté en Conscience”, comme on le fait en Hypnose Humaniste.
Cela fonctionne avec un groupe de personnes aussi :
(regardez le métronome tout à droite au 2ème rang)
Il n’y a qu’à voir le changement qui survient dans un groupe de formation après seulement une heure de cours ! (ne vous laissez pas avoir par l’uniformité du mouvement : chaque petite goutte d’eau de l’océan, bien que formant un tout, garde toujours son individualité).
La “synchronisation positive” permet ainsi au thérapeute ou coach de faire son travail, d’être en synchro avec la personne, même en “sympathie”- et donc d’avoir l’intuition nécessaire au travail de changement – sans souci pour la santé de l’intervenant, et même avec un gain positif pour la personne.
Et si nous étions tous en “synchro” ?
Chacun a sa place dans ce “mouvement en union”. Comme le disait Coluche à propos de la taille des jambes : pas de grand, pas de petit ! Chacun tient son rôle, même sans le savoir, et participe à l’harmonie du tout.
Même lorsque les choses paraissent chaotiques vues de l’intérieur, sous le bon angle on voit l’harmonie transparaître.
Le Dalaï Lama disait qu’il n’y a pas de personnes malchanceuses, juste des gens qui ne “savent pas lire le ciel”…
L’Asie est un continent où, par leur culture, les gens sont naturellement bien plus connectés les uns aux autres. On imagine les avantages que cela peut avoir – mais aussi les désavantages, comme d’être plus facilement “manipulables” d’un bloc…
Toutefois, le fait de retrouver cette union, cette communion de tous les êtres, y compris avec la nature autour, est un des vieux rêves de l’Humanité.
La musique et le plaisir d’être ensemble pourraient constituer la “base vibrante”…
N’avez-vous déjà pas plus le sourire ? Cela fonctionne, n’est-ce pas ! 😉
Quels miracles pourrions-nous accomplir si une partie des consciences de l’Humanité s’unissaient sur un grand et beau projet ?
Une jolie vidéo qui illustre visuellement certaines des constantes de l’univers :
On y retrouve la célèbre suite de Fibonacci et le nombre d’or. L’idée qui soutient ce type de raisonnement est le “Monde des Idées”, développé par Pythagore et repris par Platon : le fait de penser que l’univers est sous-tendu par une harmonie mathématique. En Hypnose Humaniste, on dirait “par un champ informationnel unifié”. La Conscience.
Ce qui se rapproche de cette “divine proportion” nous semble “beau” ou “parfait”. Prenez un visage pour exemple (et cela fonctionne aussi pour un visage masculin, bien sûr) :
Vous pouvez lire sur ce site comment le “masque” que vous voyez sur la vidéo n’est qu’un patchwork de cette “divine proportion”. Chaque part entière (1) est assemblée à 1.61803398875 (le nombre d’or). La proportion est donc 1/1,61803398875.
On retrouve ce nombre partout dans la nature, dans le corps humain, les galaxies, dans l’art, l’architecture, etc.
Si cela vous parait compliqué, voici l’explication par Disney… en 1959 !
Tapez “nombre d’or” dans Google pour avoir d’autres exemples…