Commémorer convenablement…

Bonjour à toutes et à tous,

Je profite de ce jour spécial (8 mai 2015 : soixante-dixième anniversaire de l’Armistice de 1945) pour vous rappeler quelque chose qui peut être important pour notre avenir à tous et qui vaut pour toutes les commémorations d’évènements douloureux passés.

Vous savez que l’Information est le « matériau » (si l’on peut dire) constitutif de tout ce qui existe, donc de « nous » les humains y compris – et que nous baignons ainsi tous dans ce même grand bain, avec tout ce qui peut exister…

Comme son nom l’indique, l’Information (du latin « in formare » : ce qui donne la forme) nous forme : elle génère nos particules, molécules, structure, etc. et jusqu’à nos pensées. Elle est « Nous », au niveau essentiel. Et les biologistes spécialisés, comme Rupert Sheldrake, expliquent bien que nos activités « informent », « donnent forme » en retour à ce grand bain originel – le faisant ainsi évoluer (ou non !)…

Ainsi, lorsque nous sommes heureux ou malheureux, nous « chargeons » le bain dans lequel nous trempons tous… Expliqué comme cela, il est facile de comprendre qu’il vaut mieux déverser du parfum dans le grand bain, plutôt qu’autre chose de nauséabond.

Malheureusement, les horreurs dont l’Humain est spécialiste (guerres et autres) génèrent des « nuages » d’informations nauséabondes – des masses d’informations négatives agglomérées, à l’image de ce « continent » de déchet qui flotte dans l’océan (le vrai, celui qui baigne notre planète), détruisant toute vie sur son passage…

Nous baignons tous en permanence dans ce grand bain d’Information, y piochant sans le savoir nos idées et humeurs. Un « bain » plus sain, optimiste, permet donc aux êtres qui s’y alimentent sans le savoir de vivre plus sainement et en paix. Par contre, s’il existe des zones « noires » ou « polluées », toujours inconsciemment, nous piocherons dedans pour vivre nos vies, ce qui détermine à la fois notre état d’être que nos actions.

Il est donc bien sûr compréhensible, humain et sans doute indispensable de commémorer l’anniversaire d’un évènement comme celui de l’armistice d’une guerre, pour que cette horreur ne revienne jamais… Mais c’est justement ce dernier point qui blesse : car si on ne « fête » pas convenablement ce type d’anniversaire, on ne fait que se replonger dans les mauvais souvenirs, ce qui les entretient (on les nourrit, informationnellement parlant)… et ce qui entretient donc en même temps la possibilité qu’une fois « rechargé à bloc », le-dit nuage noir informationnel nous retombe un jour sur la tête : qu’il redevienne réalité !

Il s’agit donc d’avoir une pensée lumineuse, apaisante et guérisseuse pour les horreurs passées : l’intention d’illuminer et de soigner ce « nuage noir » de mauvais souvenirs, toutes ces âmes en peine, afin que le souvenir se fonde dans la lumière d’un avenir serein et en paix.

Donc, commémorer, oui, mais en orientant sa pensée dans la bonne direction, soigner et non pas entretenir.

Drapeau soviétique brandi par la foule en liesse, sur les Champs-Elysées, au moment de la libération de Paris

Dans cet esprit, il est dommage de voir que les gouvernants se chamaillent encore, le jour même d’un tel anniversaire, par exemple en ne répondant pas à l’invitation du président russe, dont le pays a subi le plus grand nombre de morts pendant la seconde guerre mondiale : presque 27 millions de morts !!! à comparer aux 418 500 morts USA… La Russie ayant participé plus que tout autre pays à la Libération de la France, ce que la propagande américaine actuelle tente de camoufler…

Il reste 2,5 millions d’anciens combattants encore en vie en Russie : que pensez-vous qu’ils vont ressentir, d’être tenus éloignés des commémorations, pratiquement même « reniés » par ceux-là même qu’ils ont libéré ? Il y a vraiment de quoi noircir encore plus un « nuage » qui, pourtant, mériterait d’être enfin dissipé…

En tant qu’Humanistes, je vous invite donc à « percer » de votre plus belle Lumière ce vilain nuage, ainsi que ceux que la vie nous rappelle à longueur d’année, en l’englobant complètement : en souhaitant la paix à chaque être ayant souffert, sans préjugé de race, de croyance ou de politique (gare à la propagande médiatique : veillez à votre liberté de penser !), afin de participer non seulement à l’illuminer, pour notre avenir à tous, mais aussi à contrer l’effet négatif des chamailleries qui entretiennent les discordes.

soleil-positif

Un monde libre !

Cette vidéo présente l’idée centrale qui permettrait de libérer l’Humanité de la plupart de ses fléaux : pauvreté, famine, crimes, guerres, esclavagisme social (le « travail » !), pollution, etc. C’est LA solution.

Cela ressemble beaucoup au monde que je décrivais à la fin de mon roman « Créateurs de Réalité 2 », à quelques détails près (lire aussi l’article).

On retrouve aussi cette idée dans le « Projet Venus » du groupe Zeitgeist.

La vidéo n’aborde pas la « mécanique », le « pourquoi ça fonctionnera ». On retrouve quelques explications dans mon article et tout à la fin du dernier film de Zeitgeist (le 3).

Bien sûr, tout cela ne fera pas évoluer les humains : il y aura toujours la bêtise et l’agressivité, la jalousie, les religions et tous les travers de l’humanité…
Mais, sans argent, vous coupez à la racine la plupart des maux les plus importants : plus de misère, de malnutrition, plus de vols ni de violence due à la pauvreté, plus de guerre pour la possession de territoires ou de biens (pétrole, etc.), plus de pollution (les moteurs propres existent depuis plus de 100 ans, qu’attend-on ?), plus de surpopulation dans les pays pauvres (un couple en sécurité financière se « reproduit » moins : donc, la population se régulerait naturellement !), etc. etc.

Le plus dur…

vivre libreComme pour tout projet qui changera notre quotidien : c’est la transition. Passer d’aujourd’hui à demain… Dépasser sans heurts notre appréhension bien naturelle (merci notre cerveau reptilien) et surtout convaincre la minorité dirigeante d’abandonner ses privilèges – car l’argent ne sert et profite qu’à eux, pas à nous. 

Là, c’est l’interrogation. Si vous avez une bonne idée sur le sujet (c’est-à-dire « non-violente »), beaucoup seraient intéressés, je pense…

En attendant, on peut toujours faire circuler l’idée d’un monde libre et militer pour que les choses bougent. Après tout, dans l’histoire de l’Humanité, c’est toujours une minorité qui a déclenché les plus grands changements. Et celui-ci serait immensément positif pour tous !

———————SIGNEZ LA CHARTE DU MONDE LIBRE———————

La Charte du Monde Libre est une déclaration de principes ayant le potentiel d’optimiser les conditions de vie sur Terre pour toutes les espèces, d’éradiquer la pauvreté et l’avidité et de favoriser le progrès.

Ces dix brefs principes, qui ne sont rattachés à aucune politique ou religion, pourraient constituer les bases d’une nouvelle société plus avancée qui n’utiliserait aucune monnaie, serait libre et gratuite, équitable et durable. Ils reposent uniquement sur la Nature, le bon sens et la survie.

La Charte du Monde Libre est désormais largement considérée comme une progression logique suite à l’échec des mécanismes de la société actuelle, et une étape naturelle de notre évolution : www.freeworldcharter.org/fr

Indignés, et après ?

Patricia et moi avons intégré tellement de ce « nouveau paradigme » à notre quotidien qu’on  en oublie parfois que ce n’est pas encore le cas pour tout le monde…

Voici donc une bonne vidéo, si vous avez 15mn devant vous, avec le rappel d’éléments simples à appliquer pour aller vers un meilleur monde.

La voix « off » est bizarre. Ne vous arrêtez pas à ça, ce serait dommage. Ce que l’histoire raconte est vrai…

Seuls bémols :

– La voix du commentateur masqué qui peut faire peur. Bien sur, cela protège son anonymat et cela évite « l’effet groupies », mais cela doit en faire fuir certains. Dommage.

– A la fin, lorsqu’il parle de « accepter moins de confort » et de « prix à payer » pour que les choses s’arrangent. Personnellement, je ne suis pas d’accord : je trouve au contraire que vivre sainement et simplement est une libération, c’est plus facile et cela amène justement plus de confort : on dépense moins pour des babioles, forcément il « reste » davantage ! 🙂 Ce n’est donc pas un « prix à payer », mais bel et bien un bénéfice à réaliser.

Avis perso !

Partage

partage« Partage » est le nom d’une association qui permet d’adopter un enfant orphelin, en France comme à l’international, afin de lui permettre de rester auprès des siens, dans son pays !

Les « papas / mamans » de l’association (puisque c’est ainsi que les enfants nous appellent) parrainent financièrement les membres de la famille qui ont accepté de prendre la garde de l’enfant. C’est important car, en Afrique par exemple, il y a 650.000 enfants vendus tous les ans, par leur famille, faute d’avoir l’argent nécessaire à les faire vivre…
Quand ils sont adoptés par des européens, c’est le mieux qui peut leur arriver. Je vous laisse imaginer le pire 🙁

L’association « Partage » permet ainsi aux familles de garder leurs orphelins. Les enfants restent ainsi auprès de personnes qu’ils connaissent, dans leur pays, etc.

Avec notre filleul de Ouagadougou et sa famille...

Avec notre filleul de Ouagadougou et sa famille…

Nous suivons donc la vie et la scolarité de ces enfants (échanges de courriers, photos, etc.) et nous aidons aussi l’association sur des actions ponctuelles, pour les victimes du tsunami en Thaïlande, de la tempête à Haïti, pour les enfants des rues du Népal et aussi l’aide à l’achat de prothèses pour des enfants handicapés du Liban.

Les bienfaits du parrainage ne s’arrêtent pas là. Chaque enfant fait partie d’un programme de développement qui améliore les structures scolaires, les conditions d’hygiène et l’habitat. Ce programme vise aussi à développer les ressources de la famille via le micro-crédit ou la mise en place d’activités génératrices de revenus.

Liliana-04-2007En plus du soutien financier mensuel, nous essayons le plus possible de nous déplacer afin de rendre visite directement à nos « filleuls », ce qui est une expérience humaine extraordinaire, mutuelle, que tout « parrain » et « marraine » devraient faire régulièrement (voir le diaporama).

Dix parrainages nominatifs :
  • 3 parrainages d’enfants en Egypte (Rania, 9 ans, Milad, 7 ans et Mahmoud, 6 ans)
  • 1 parrainage d’enfant en Bosnie (Emina, 7 ans)
  • 1 parrainage d’enfant au Burkina Faso (Judicael, 9 ans)
  • 2 parrainages d’enfants aux Comores (Cheik, 4 ans et Sarline, 9 ans)
  • 1 parrainage d’enfant en Equateur (Liliana, 5 ans)
  • 2 parrainages d’enfants en Inde (R. Sangeetha, 5 ans et K. Mathankumar, 4 ans) 

Sarline-01-2007

Six parrainages d’actions :
  • 1 parrainage d’action au Liban (Sesobel, enfants handicapés)
  • 1 parrainage d’action à Haïti (ACDED : aide à la population)
  • 1 parrainage d’action en Equateur (San Juan, enfants handicapés)
  • 1 parrainage d’action aux Comores (Initiative Développement : appui scolaire)
  • 1 parrainage d’action au Népal (enfants des rues)
  • 1 parrainage d’action en France (Générations Médiateurs : formation des jeunes à la médiation et à la résolution des conflits)

Vous aussi, adoptez un enfant, afin de lui permettre de vivre une enfance meilleure !

Zeitgeist

Connaissez-vous la série des documentaires « Zeitgeist » ?

Ce terme allemand signifie « l’esprit du temps ». Dans ces films dont la diffusion est libre (et encouragée !), il y a à prendre et à laisser, selon les idées de chacun.
Personnellement, j’aime bien le début du premier « Zeitgeist ».

Bien évidement, cela n’a pas plu aux adeptes des religions qui basent leur « fond de commerce » sur leur interprétation personnelle de ces faits mythologiques et astronomiques. Pourtant, l’intelligence qui a mis en place ces histoires pour nous permettre de nous repérer dans le temps est admirable – nul besoin de s’inventer des histoires pour enfants par-dessus… mais bon… chacun son opinion 😉

Vous trouverez plus d’infos sur cette première partie du film sur ce site et en recherchant vous-même sur internet et à votre bibliothèque (si si, les livres, ça existe encore !).

J’aime bien également la fin du documentaire « Zeitgeist Addentum« , à propos d’un monde  sans travail ni argent (si si, ça aussi ce serait très possible : Venus Project) comme j’en avais déjà eu l’idée aussi dans mes romans « Créateurs de Réalité » (lire aussi ici).

SOS Villages d’Enfants

Patricia et moi, nous soutenons activement, chaque mois et depuis des années, cette association : SOS Villages d’Enfants.
(quand vous vous inscrivez en formation à l’IFHE, une part du coût de formation est envoyé aux associations que nous aidons) **

sos-villages-d-enfantsEn 1949, un autrichien, Hermann Gmeiner, a eu l’idée de rassembler les enfants orphelins et les veuves de guerre. Depuis, l’idée a fait son chemin et il y a des villages entier de « mamans » qui s’occupent en moyenne d’une douzaine d’enfants par maman.

L’association « SOS Villages d’Enfants » a ainsi pour mission d’offrir aux enfants orphelins, abandonnés ou séparés de leurs parents, le bonheur de grandir ensemble dans la chaleur et la sécurité d’une vie familiale. Cela leur évite aussi d’être adoptés et sortis de leur pays et de leur culture…

Nous aidons ainsi une quinzaine de villages :

  • Sibiu, en Roumanie (soutien d’un village existant)
  • El Jadida, au Maroc (construction d’un nouveau village)
  • Kigali, au Rwanda (soutien d’un village existant)
  • Mogadiscio, en Somalie (soutien d’un village existant)
  • Douala, au Cameroun (aide pour un nouveau village)
  • Antsirabe, à Madagascar (aide pour un nouveau village)
  • Dafra, au Burkina Faso (soutien d’un village existant)
  • Kita, au Mali (aide pour un nouveau village)
  • Raipur, en Inde (aide pour un nouveau village)
  • Pokmara, au Népal (soutien d’un village existant)
  • Pakse, au Laos (soutien d’un village existant)
  • Dong Hoi, au Vietnam (aide pour un nouveau village)
  • Tegucigalpa, au Honduras (soutien d’un village existant)
  • Esmeraldas, en Equateur (soutien d’un village existant)
  • Vap Haïtien, en Haïti (soutien d’un village existant)
Dans un village d'orphelin, avec mon copain dans les bras (adoption mutuelle instantanée !)...

Dans un village d’orphelin, avec mon copain dans les bras (adoption mutuelle instantanée !)…

Nous sommes allés sur place, notamment au Burkina Faso, et nous avons pu vérifier le travail formidable de l’association. C’est du solide et du concret !

Un village de 120 enfants reçoit dans son école près de 1000 enfants – et donc autant pour la cantine, le midi (souvent leur seul repas de la journée).

De même, le « puits du village » sert à toute la région, comme les soins médicaux… Chaque village SOS est un point ressource indispensable à la vie. Ils méritent vraiment d’être soutenus.

 

Si le cœur vous en dit : aidez, vous aussi, un village d’enfants !

enfants

** A noter qu’un contrôle de l’administration, en 2020, nous a interdit de continuer à aider nos associations, et donc tous les enfants que nous parrainions !!! 🙁 Sous le prétexte que « cela faisait croire que nous sommes humanistes » (car pour ces braves gens, forcément, nous ne pouvions pas avoir réellement bon cœur). Bref, cela a été qualifié de « trompeur » et nous avons dû tout arrêter… Merci qui ??… 🙁

Burkina Faso 2007

Petit souvenir de notre expédition humanitaire au Burkina Faso, en juin 2007.


(à visionner en grand écran, car les textes sont écrits tout petit)

La vidéo n’est pas belle, c’est un « powerpoint » à la base… mais c’est mieux que rien.

Depuis, la guerre a rendu le pays difficile d’accès, comme le Mali à la suite. Quel dommage !…

Au village SOS de Bobodioulasso (association SOS Villages d’Enfants) :

Dans un village d'orphelin, avec mon copain dans les bras (adoption mutuelle instantanée !)...

Burkina-faso-2007

Au puits du village SOS...

Avec une famille de potiers, rencontrés par hasard...

Avec un de nos filleuls à Ouagadougou (association Partage) :Avec notre filleul de Ouagadougou et sa famille...

Envoi de livres aux associations : la pile est plus haute que moi ! :-)

Envoi de livres aux associations : la pile est plus haute que moi ! 🙂

Et lorsque nous sommes loin de nos protégés, nous recevons des nouvelles par courrier, des associations et des enfants, nous surveillons les bulletins de notes, nous encourageons (et parfois, il faut gronder un peu… comme à la maison ! 😉 ), nous envoyons aussi des lots de médicaments, de jouets ou de livres (il en faut beaucoup à chaque fois, pour ne pas faire de jaloux dans le village). Bref, c’est du travail !

En tout, Patricia et moi – et toute l’équipe IFHE, bien entendu – soutenons 15 villages SOS de 120 enfants chaque, 10 enfants parrainés et 9 associations (France, Liban, Equateur, Comores, Nepal, Haïti, Inde, et deux internationales).

Je me suis fais adopter ! La séparation fut dure...

Je me suis fais adopter ! La séparation fut dure…