En s’occupant pendant plusieurs années de patients en fin de vie, l’infirmière australienne Bronnie Ware a décidé de rassembler dans un livre les dernières déclarations, les derniers souhaits et regrets des personnes qu’elle a accompagnées jusqu’à la mort.
« Interrogés sur les regrets qu’ils avaient ou sur les choses qu’ils feraient différemment s’ils en avaient l’occasion, explique Bronnie Ware, des thèmes communs revenaient encore et encore … »
Découvrez les 5 plus grands regrets des personnes en fin de vie, car les erreurs de tous peuvent profiter à chacun pour s’améliorer et aider son prochain :
Je regrette de ne pas avoir eu le courage de vivre ma vie comme je le voulais et pas celle que les autres voulaient pour moi.
Je regrette d’avoir consacré trop de temps à mon travail.
Je regrette de ne pas avoir plus exprimé mes sentiments.
Je regrette de ne pas être resté en contact avec mes amis.
Je regrette de ne pas m’être autorisé à connaître le bonheur.
Vous voilà maintenant motivé : ne gâchez plus votre temps de vie, faites de chaque jour un bon moment (même au travail, même dans les obligations et la routine !) : vivez pleinement, soyez vous-même et profitez de ceux que vous aimez ! Be happy, keep moving ! 😉
Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain :
Cueilllez dès aujourd’hui les roses de la vie. Ronsard
“Les participants (à cette expérience) ont été mis en situation de stress pour analyser leur rythme cardiaque, celui-ci étant un indicateur de la réponse du corps au stress.
Les résultats sont surprenants, les individus affichant un sourire avaient un rythme cardiaque inférieur à ceux à l’expression neutre ! Et les étudiants du groupe au sourire de Duchesne (appelé « sourire authentique » : qui implique autant les muscles de la bouche que ceux des yeux) ont affiché un rythme encore inférieur !”
Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup.
Il enrichit ceux qui le reçoivent, sans appauvrir ceux qui le donnent.
Il ne dure qu’un instant, mais son souvenir est parfois éternel.
Personne n’est assez riche pour pouvoir s’en passer,
Et personne n’est trop pauvre pour ne pas le mériter.
Il crée le bonheur au foyer, est un soutien dans les affaires et le signe sensible de l’amitié.
Un sourire donne du repos à l’être fatigué, rend du courage au plus découragé, console dans la tristesse et est un antidote de la nature pour toutes les peines.
Cependant il ne peut s’acheter, ni se prêter, ni se voler.
Car c’est une chose qui n’a de valeur qu’à partir du moment où il se donne.
Et si quelquefois vous rencontrez une personne qui ne vous donne pas le sourire que vous méritez, soyez généreux, donnez-lui le vôtre.
Car nul n’a autant besoin d’un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres.
A quel signes reconnait-on quelque chose ou quelqu’un d’humaniste ?
On pourrait multiplier les définitions personnelles, mais tenons-nous à ce qu’est un “humaniste” depuis la Renaissance. Vous êtes humanistequand :
Vous faites souvent référence aux philosophes grecs (Pythagore, Aristote, Platon, etc.) et vos idées s’appuient sur la logique et la déduction, les faits concrets. .
Vous avez envie de tout savoir sur tout (sociologie, biologie, astrophysique, etc.). De fait, vous possédez une somme de connaissances sur d’innombrables domaines… .
Vous êtes friand de philologie (d’où viennent les mots, le langage, etc.), y compris dans son acceptation large de “l’étude de toutes les manifestations de l’esprit humain dans l’espace et dans le temps“, sans les fausser par des interprétations. .
Vous vous intéressez à tout ce que l’humain est capable de faire et de créer, les considérant comme dignes d’intérêt (multiples facettes d’une vaste réalité). .
Vous pensez qu’on ne peut pas avoir d’idée valable sur un domaine sans connaître plusieurs autres domaines pas forcément reliés au premier (vision globale). .
Vous savez que la valeur humaine ne se réduit pas à une classe sociale ou à un diplôme validant des connaissances acquises sans réelle compréhension : on peut apprendre de tous, des plus “petits” comme des plus “grands”. .
Vous prônez la vulgarisation de tous les savoirs, même les plus techniques ou les plus “ésotériques” (philosophie, religion, symbolisme, sens de la vie, etc.). .
Vous pensez que la vraie liberté s’acquiert par l’instruction, que la peur et l’agressivité viennent de l’ignorance et que du savoir viendra la paix. .
Vous vous battez pour la dignité, la valeur et les droits de tous les individus, quitte à ne plus respecter (et lutter contre) un système qui bafoue votre éthique. .
Votre vie est tout entière dirigée par la recherche de la vérité, le partage de vos connaissances et l’amélioration de ce que vous êtes en tant qu’être humain.
La liberté commence où l’ignorance finit. Victor Hugo
A l’IFHE, nous formons régulièrement des pompiers, secouristes, policiers, gendarmes, urgentistes, etc. Des personnes qui peuvent utiliser les techniques de l’Hypnose pour calmer, rassurer les personnes – et même, si besoin, pour des anesthésies/analgésies.
La douleur est forcément la chose la plus terrible et la plus stressante qui soit pour la personne victime. Tout devrait être mis en œuvre pour la diminuer ou la supprimer, et l’Hypnose fonctionne formidablement bien pour cela.
Ces vidéos présentent le travail de Cécile Colas-Nguyen, une sage-femme qui exerce à Haguenau et qui est également pompier. Je trouve formidable que des professionnelles, comme elle, s’impliquent pour “passer la bonne parole”, dans un milieu où l’on rencontre le stress et la souffrance quotidiennement… Bon, les experts en hypnose vous diront bien qu’un des pompiers utilise dans la vidéo un langage peu orthodoxe en hypnose (“Ne vous laissez pas déranger“, alors que l’on évite forcément d’utiliser des mots négatifs). Mais l’intention y est – et il faut bien débuter. C’est déjà génial que le monde des pompiers, comme celui des urgentistes hospitaliers ou des secouristes, prenne conscience de l’impact des mots. Après tout, le langage est la première chose que l’on utilise, instinctivement, pour soulager l’autre !
Eh oui, il est rare de trouver quelque chose de vraiment gratuit.
Qui paye pour Google, Youtube et tous les sites bien pratiques que l’on utilise si souvent ?
D’où vient l’argent qui permet d’entretenir les quelques 45.000 serveurs de Google répartis dans 36 “data center”. Chaque centre “pompe” 11250 kilowatts d’électricité !
Tout cela coûte des fortunes, à construire et, bien sûr, à entretenir.
Donc, forcément, quelqu’un paye pour tout ça…
Et ce “quelqu’un” n’investirait pas autant s’il n’avait pas à y gagner 😉
D’où l’adage : “Si c’est gratuit, vous êtes le produit !”
Voici une petite vidéo explicative, et qui reste dans l’aspect commercial (pour le reste, voir ci-dessous)…
C’est amusant que ce soit une société commerciale qui informe de cela…
Ensuite, nous avons “Big Brother”, et là c’est bien pire 😀
Bien évidemment, nous n’avons que les informations que l’on veut bien nous donner – même au travers de soi-disant “infiltrations” (je ne suis pas sur que des infos sortent contre leur gré… donc, ce qui nous parvient n’est pas forcément réel… mais bon)…
Sachant que tous les gouvernements surveillent leurs citoyens – cela depuis toujours – et qu’on ne nous demande notre avis via référendum que lorsque cela se sait de trop… (une façon d’entériner officiellement une pratique devenue trop “visible”)
Voilà. Maintenant, c’est vrai qu’Internet a changé notre manière de vivre et a déclenché un bond en avant culturel : souvenez-vous avant, quelle occasion nous avions de communiquer ? Un tel blog était impossible. Pas de partage d’infos. On était au Moyen-Age culturel… Aujourd’hui, tout va plus vite. L’Humanité fait un bond.
Plus qu’à négocier ce tournant d’évolution au mieux pour les libertés de tous.
La musique n’est pas intangible. Elle a une réalité physique, sonore bien sûr mais aussi vibratoire – on pourrait dire “énergétique”. Elle nous fait vibrer, bien plus qu’émotionnellement : ce sont toutes nos cellules qui s’accordent à la musique.
La musique touche également notre âme… et si vous avez une juste idée de ce qu’est votre âme et à quel point son essence est similaire à celle de la vie tout entière (en Hypnose Humaniste, on parle de “matrice”), vous savez l’importance de la musique.
Voici donc un peu de musique, une vidéo très belle, qui débute par une citation inspirante.
Ayez confiance, ne pratiquez pas seulement votre art, mais plongez-vous dans ses secrets. C’est ainsi, et par la connaissance, que l’humain s’élève jusqu’au divin. Ludwig van Beethoven
Un jour, un sage vint à croiser la route d’un scorpion. Ce dernier était coincé devant un cours d’eau, ne pouvant traverser sans risquer de se noyer.
Le sage, voyant cela, tendit la main au scorpion pour l’aider à rejoindre l’autre rive. Le scorpion, bien heureux, grimpa dans la main tendue mais – à peine installé – planta son dard et blessa le sage.
Sans un mot, celui-ci fit tout de même traverser la piquante bête jusqu’à l’autre côté, et reprit son chemin.
Un jour suivant, le sage croisa à nouveau le scorpion, qui se noyait dans une mare. Et, à nouveau il lui tendit la main et le secourut. Le scorpion, sitôt dans la main, piqua à nouveau ! Et le sage, toujours bienveillant, reposa doucement le scorpion au sec. Et reprit son chemin.
Un autre jour encore, le sage sauva le scorpion, et encore un autre jour… Jusqu’au moment où la piquante bête, intriguée, lui demanda :
“Mais pourquoi me tends-tu toujours la main ? Tu sais bien maintenant que je te pique à chaque fois !
– Bien sûr que tu me piques, répondit le sage, puisque telle est ta nature, et la mienne est de t’aider – c’est ce qui me plait. Chacun sa nature. C’est la raison pour laquelle ta piqure ne me blesse pas vraiment – c’est simplement l’expression de ce que tu es – et c’est très bien ainsi.”
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Morale de l’histoire : ne soyez pas blessé si les autres ne se comportent pas comme vous. Faites ce qui vous semble bon, sans attendre que les autres choisissent d’agir de la même manière que vous – car nous sommes tous différents, et c’est ce qui fait la diversité, l’équilibre et la beauté de la vie.
Vous pouvez faire la paix avec quelqu’un, parce que c’est ce qui vous met en paix. Si l’autre personne refuse cette paix et reste dans sa colère, c’est son choix, et il est respectable. Cela n’a rien de blessant pour vous. Chacun sa vie.
Vous avez fait ce qui était bon pour vous et l’autre personne de même. Chacun sa nature.*
Vous pouvez aider votre prochain sans rien obtenir d’eux en retour – car le vrai “retour” est immédiat et il vient de votre nature profonde : vous vous êtes respecté, vous avez agi au plus près de Ce Que Vous Êtes vraiment (on dirait “de votre Soi Idéal”, en Hypnose Humaniste). C’est le plus important. Plus important encore que ce que vous imaginez.
Gardez cette pensée en vous et plus rien ni personne ne vous blessera, car vous verrez la nature de chacun sur son chemin d’évolution 🙂
* Et je suis sûr qu’il y a des scorpions qui ont su évoluer et ne piquent plus sans raison !
“Réenchanter la science“, le dernier livre du biologiste Rupert Sheldrake, que je cite souvent en formation et dans mes livres d’Hypnose Humaniste, est intéressant à plus d’un titre :
Sheldrake applique au matérialisme le “scepticisme” qui lui est cher (il retourne donc contre lui son outil principal). Et il reprend ainsi un par un les dogmes matérialistes de la science actuelle et nous en donne l’historique. On voit alors à quel point ces “principes” ne reposent sur… rien ! Juste des convictions d’une autre époque.
L’éminent philosophe des sciences Karl Popper avait l’habitude de parler de “matérialisme de promesse”, car les personnes qui croient (car il s’agit de croyance) que le monde n’est que matériel, sans conscience, ni origine autre que le hasard et, bien sûr, sans aucun but ni même motivation – ces gens-là s’appuient sur des idées :
1/ qui n’ont jamais été prouvées par une expérience concrète, et
2/ qui ont souvent été dictées à l’origine par le pouvoir religieux (un comble !!!).
La science s’est ainsi posée sur des bases matérialistes en promettant qu’un jour elle prouverait ses dires (c’était au début du 19e siècle), puis que cela allait bientôt venir (début 20e siècle), puis que ces idées ne pouvaient qu’être les bonnes (1950) pour finir sur l’affirmation pure et simple que tout ce qui n’était pas matérialiste était supercherie, charlatanisme ou foutaise (fin 20e siècle) ! Alors que l’on attend toujours leurs “preuves” !
Aujourd’hui, à l’ère d’Internet, les découvertes de la physique quantique vieilles de plus d’un siècle sont de plus en plus difficiles à cacher (on les trouve partout sur le web).
Le matérialisme s’effondre de toutes parts, mais il freine encore le progrès scientifique, que ce soit dans les sciences “dures” (maths, physique, etc.) ou dans les sciences “douces” (biologie, médecine, psycho, thérapie, etc.).
Lorsqu’on possède les connaissances historiques et techniques (rappelées simplement par Rupert Sheldrake dans son livre), on se rend rapidement compte que les “illuminés” ne sont pas ceux que l’on croyait. Le matérialisme a de plus en plus de peine à prouver ses idées – ce qui enfreint une des règles de base de la recherche : le principe du rasoir d’Occam (“Les hypothèses suffisantes les plus simples sont les plus vraisemblables”).
Notre éducation nous a forgé une idée du monde qui se révèle inexacte. Dans ces conditions, comment penser librement, si nos bases de réflexions ont été mises en place, non pas “pour la vérité”, mais pour la protection d’intérêts…
Exemple
Même un principe fondamental comme la “deuxième loi de la thermodynamique“, sur laquelle même la physique quantique s’appuie pourtant, et qui prédit (entre autre) que toute chose va vers le chaos (entropie)… même cette “loi” n’est pas si réelle que l’on croit.
Sans entrer dans les détails, que vous découvrirez dans le livre, prenez ce simple fait (puisque la science repose sur le doute, mettons en doute !) : comment se fait-il, si tout va soi-disant à vau-l’eau, que l’on observe exactement le contraire dans nos vies ?
Sur Terre, tout évolue, la nature évolue, l’Humanité évolue, la technologie évolue, etc. On constate même à grande échelle que l’univers est en expansion. Alors, on nous dit que “un jour, tout s’effondrera”, mais cela fait presque 14 milliards d’années que tout fait l’inverse.
On nous parle de différence d’échelle, etc. Mais, la réalité, c’est que l’observation concrète ne colle pas avec la théorie…
Conclusion
Nous sommes manipulés, freinés et limités dans notre connaissance et compréhension du monde par “l’éducation” (sic!) que l’on nous donne. Tenez, même l’expression “aller à vau-l’eau“, qui signifiait simplement “suivre le fil de l’eau” jusqu’au milieu du 16e siècle, a pris le sens détourné de “aller à la catastrophe”, “à sa perte”. Comme si le temps, inéluctablement, devait produire cet effet – ce qui est faux : on voit bien la vie évoluer !
Pour prendre la mesure de cette manipulation éducative, prenez le mot “anarchie” : il désigne à la base l’état d’un “système organisé sans domination unique à caractère coercitif“. C’est un “ordre social absolu“, grâce à l’entraide et à la conscience que chacun peut avoir des autres. Bref, un idéal – quasi une utopie… Par quel miracle cette belle idée est devenue synonyme de désordre ou de chaos ?? Comme toujours, cherchez du côté de ceux qu’une telle organisation populaire libre dérangerait : qui y perdrait ? 😀
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Bref, voici une petite vidéo de Rupert Sheldrake, où il nous présente les bases de son analyse de l’un des dogmes matérialistes. Il y en a beaucoup plus dans le livre – et surtout clairement expliqué. Disons que c’est une introduction.
Anecdote amusante – et qui montre les “forces de résistance au changement” : cette simple vidéo a immédiatement été censurée et supprimée, dès sa mise en ligne !!!
Par qui ? Pour quoi ? Qui peut avoir autant de pouvoir pour obliger TED et Youtube à supprimer une vidéo somme toute assez anodine ?…
Toujours est-il que la censure a produit l’effet inverse : une levier de boucliers qui a généré un buzz sans précédent. TED n’a toujours pas remis la vidéo en ligne, mais les internautes s’en sont chargés et, comme d’habitude, elle “disparaît” souvent et quelqu’un d’autre la remet en ligne… Sauvegardez donc cette version, si vous souhaitez la conserver.