D’où vient la lumière de l’univers ?

Voici une info scientifique qui a des résonances symboliques intéressantes : il y a 400% de lumière en plus dans l’univers que ce que justifie le nombre d’étoiles, quasars, galaxies et autres… !!

Autrement dit, quelque chose d’inconnu produit la lumière de l’univers – et on n’a encore aucune idée de ce que cela peut être. Amusant, non ? 😉

Phénomène à mettre en parallèle avec le fait que notre ADN demande plus d’énergie pour garder sa structure qu’il n’en a à disposition (donc, d’où tire-t-il l’énergie manquante ?)…

intergalactic light_0A study led by Juna Kollmeier of the “Carnegie Institution For Science” found that there is 400% more light in the universe than can be explained by galaxies and quasars. The Astrophysical Journal Letters

Source: missing light
Source: DNA & quantum entanglement

Coeurs d’étoiles

Un lecteur du magazine TIME a demandé à l’astrophysicien Neil DeGrasse Tyson : “Quel est le fait le plus étonnant que vous pouvez partager avec nous à propos de l’Univers ?” Voici sa réponse en vidéo.

(cliquez sur le petit rectangle blanc, sous la vidéo, si les sous-titres français ne s’affichent pas)

Si ce n’est pas Humaniste, ça !

J’explique souvent cela, dans les débuts de formation. On en parle, mais c’est formidable de l’avoir en vidéo, joliment mis en images et expliqué par un physicien 🙂

Partager…

“La connaissance et le fait d’entrer dans les secrets de son art peuvent hisser l’humain vers le Divin”, expliquait Beethoven…
J’ajouterai : “et partager cette lumière afin qu’elle soit au cœur de chacun” – car, finalement, c’est l’essence même du Divin, d’être au cœur de chacun, comme le soleil illumine chaque être à égalité.

Eh bien, je trouve que ces “piano guys” y arrivent très bien, en mêlant leur art au public venu les écouter.
Imaginez ce que ce serait que d’être au milieu d’eux, à ecouter une musique qui n’est produite, somme toute, que du frottement de petites cordes avec du crin de cheval tendu. Comment les humains ont-ils pu arriver à découvrir ce moyen d’exprimer la beauté cachée dans les fibres de la vie ? Inspiration…

Visualiser le tissu de l’espace-temps

Voici une vidéo qui montre le “tissu” de l’espace-temps et le fonctionnement de la gravité :

Et vous devez bien vous demander quel rapport tout cela peut-il avoir avec l’Hypnose et le soin des personnes 🙂 Disons que ce serait un peu compliqué à résumer ici, mais cela a un rapport avec le fait d’être “Humaniste” !

L’Hypnose Humaniste est une des rares psychothérapie où l’on peut démontrer ce que l’on explique par des expériences scientifiques reproductibles. Depuis la Renaissance, les humanistes préfèrent croire à ce qu’ils peuvent prouver de faits, plutôt qu’à des “révélations” ou des “théories” personnelles…
Ainsi, les bases de l’HH se retrouvent en Physique et en Mathématiques (comme du temps de Pythagore !), plus qu’en Psychologie – qui vient tout de même ensuite, par exemple avec l’aspect symbolique de l’Analyse Jungienne, les archétypes, etc.

En résumé, les hypnothérapeutes Humanistes développent une “vision du monde” qui les aide à aider – mais ils gardent cette vision particulière pour eux : il ne s’agit pas de convaincre ou d’expliquer, mais de faire du coaching ou de la thérapie !

Ici, pour la vidéo de cet article, cela vous permet de mieux comprendre que l’espace et le temps forment un “tissu”, réellement, donc quelque chose qui a une limite.
Au-delà de cette limite, formée naturellement par la lumière (limitée, comme vous le savez, en vitesse), on parle de “Ailleurs”. Tapez “cône de lumière” sur Google images pour voir à quoi ressemble ce cône de lumière.

Ce qui est dans le cône est notre monde matériel. Ce qui est hors du cône est fait de particules dites “virtuelles”, dans le sens où elles existent (la gravité, par exemple, est due à une famille de ces particules, les “gravitons”)… mais on ne peut en observer que les effets : les particules elles-mêmes restent inobservables ! D’où leur nom de “virtuelles”.

L’Information pure, qui constitue la Conscience en Hypnose Humaniste (et d’après un certain nombre de physiciens de haut niveau) est également hors de ce cône – et l’information basse est celle qui nous constitue, dans le cône.

Vous voyez ce que l’on peut mieux comprendre, à partir d’une simple vidéo ? 😉

Les frontières, source de violence

…et on ne parle même pas ici des frontières géographiques, mais bien de celles que l’on se met soi-même en tête !

Cela faisait longtemps que je voulais écrire un petit mot à ce sujet, et j’ai découvert il y a quelques temps une citation de Krishnamurti qui exprime quasiment ce que je voulais dire. Je lui laisse donc volontiers la parole 🙂

Un texte vraiment Humaniste et encore plus puissant à notre époque – où l’on pourrait souhaiter enfin voir un peu plus de raison et de sagesse dans le monde…

KrishnamurtiLa citation orginale en anglais est encore plus précise :
“When you call yourself an Indian or a Muslim or a Christian or a European, or anything else, you are being violent.

Do you see why it is violent? Because you are separating yourself from the rest of mankind. When you separate yourself by belief, by nationality, by tradition, it breeds violence.
So a man who is seeking to understand violence does not belong to any country, to any religion, to any political party or partial system; he is concerned with the total understanding of mankind.”
Jiddu Krishnamurti

On comprend bien alors que nos croyances sont nos choix. En tous cas, même si on a grandi avec, rien ne nous empêche de changer (et rien ne peut nous empêcher ou nous forcer à changer, d’ailleurs : tout tient réellement à nous-même !).

Je ne remplacerais qu’une phrase, pour être plus exact : “celui qui cherche à comprendre la violence” par “celui qui souhaite la paix” ou “qui œuvre pour la paix” !

Dépasser l’identité…

mur-berlin-1

Morceau de l’ancien mur de Berlin

Si vous êtes formé en PNL ou en Hypnose Ericksonienne / Nouvelle Hypnose, vous avez dû apprendre les Niveaux Logiques de Gregory Bateson, popularisés par Robert Dilts.

Vous savez donc que l’on ne peut résoudre un problème qu’à son “niveau logique” supérieur – ainsi que l’expliquait Einstein, avant même Bateson.
Donc, quelqu’un qui ne sait pas faire quelque chose (niveau des Comportements) doit simplement apprendre (niveau juste au-dessus des Capacités). C’est très simple.
Par suite, quelqu’un qui a une croyance limitante ou bloquante (niveau des Croyances, donc), va pouvoir s’en sortir grâce au niveau supérieur, celui de l’Identité…
…sauf si on l’a “guillotiné”, en supprimant son Identité !

Une personne qui entre chez son thérapeute et se présente en disant “Je suis cancéreux” (donc place un nom de maladie au niveau de son Identité) présente une dysfonction évidente, même si on se doute qu’elle n’a pas fait exprès de parler ainsi, que c’est une “façon de dire”, etc. En attendant, je ne peux plus l’aider, car si la maladie s’en va, c’est son Identité qu’elle perd (et elle ne permettra jamais ça… donc, en tant que thérapeute, je suis coince !).

Les thérapeutes apprennent donc différentes stratégies pour faire “redescendre” la maladie en-dessous de l’Identité, afin de rendre sa liberté et sa possibilité de changer à la personne.

Maintenant, imaginez que l’on ne veuille justement pas vous la laisser, votre “liberté de choisir et d’évoluer”. Il faudrait alors couper volontairement votre Identité, en remplaçant “Je suis Olivier”… par exemple, par un autre prénom !… (si possible relié à un évènement terrible qui vous mettrait très mal rien qu’en y pensant)… ou alors, par un nom de religion (“Je suis Bobiste, je crois en le dieu Bob !”) : il n’y a plus de vous, en tant que personne. Vous avez perdu votre identité… et en vous faisant croire qu’ainsi vous appartenez à un “collectif”, en réalité on vous en a coupé, car il est maintenant 2 crans plus haut, au-delà d’une Identité que vous avez perdue…

Dans tous les cas, cela fait de vous quelqu’un qui, à l’extrême, s’en fiche de disparaître, car il ne vit plus pour lui, mais pour une “cause”, une “croyance” (ou un gouvernement). Le mouton idéal.

Toutes les guerres viennent de là, depuis la nuit des temps… Sauf que nous sommes au XXIème siècle. Il serait peut-être temps d’évoluer, non ?

En retrouvant “Celui-Celle Que Vous Êtes Vraiment”, vous vous retrouvez. Et seulement à ce moment-là, vous pouvez vous dépasser, faire tomber vos frontières intérieures et vous ouvrir au monde, au niveau supérieur (que les français, cartésiens indécrottables, appellent “l’Appartenance”, mais que le reste du monde nomme “Spiritualité”).
C’est le niveau transpersonnel avec lequel on travaille en Hypnose Humaniste.

Alors, êtes-vous prêt à vous retrouver, vous… et à vous dépasser ?

Morceau de l'ancien mur de Berlin

Morceau de l’ancien mur de Berlin

Nous sommes tous frères et sœurs,
tous du même grand pays : la Terre !

Aider une existence à continuer sa course…

cheminDans mes livres et durant les formations que j’anime, je prône régulièrement un “engagement à 200%” du thérapeute ou du coach… y compris les jours de fatigue, de baisse de moral, de soucis personnels ou simplement de lassitude.

Ce n’est pas évident à transmettre comme idée, même si j’essaie d’en donner personnellement, et de mon mieux, l’exemple.

Alors, voici un très beau texte, que vous connaissez certainement, et qui mérite de remonter à votre mémoire. Il illustre bien cet engagement pour la vie.

L’ELOGE DE LA FATIGUE
(Robert Lamoureux)

Vous me dites, Monsieur, que j’ai mauvaise mine,
Qu’avec cette vie que je mène, je me ruine,
Que l’on ne gagne rien à trop se prodiguer,
Vous me dites enfin que je suis fatigué.

Oui je suis fatigué, Monsieur, et je m’en flatte.
J’ai tout de fatigué, la voix, le coeur, la rate,
Je m’endors épuisé, je me réveille las,
Mais grâce à Dieu, Monsieur, je ne m’en soucie pas.
Ou quand je m’en soucie, je me ridiculise.
La fatigue souvent n’est qu’une vantardise.
On n’est jamais aussi fatigué qu’on le croit !
Et quand cela serait, n’en a-t-on pas le droit ?

Je ne vous parle pas des sombres lassitudes,
Qu’on a lorsque le corps harassé d’habitude,
N’a plus pour se mouvoir que de pâles raisons…
Lorsqu’on a fait de soi son unique horizon…
Lorsqu’on a rien à perdre, à vaincre, ou à défendre…
Cette fatigue-là est mauvaise à entendre ;
Elle fait le front lourd, l’oeil morne, le dos rond.
Et vous donne l’aspect d’un vivant moribond…

Mais se sentir plier sous le poids formidable
Des vies dont un beau jour on s’est fait responsable,
Savoir qu’on a des joies ou des pleurs dans ses mains,
Savoir qu’on est l’outil, qu’on est le lendemain,
Savoir qu’on est le chef, savoir qu’on est la source,
Aider une existence à continuer sa course,
Et pour cela se battre à s’en user le coeur…
Cette fatigue-là, Monsieur, c’est du bonheur.

Et sûr qu’à chaque pas, à chaque assaut qu’on livre,
On va aider un être à vivre ou à survivre ;
Et sûr qu’on est le port et la route et le quai,
Où prendrait-on le droit d’être trop fatigué ?
Ceux qui font de leur vie une belle aventure,
Marquant chaque victoire, en creux, sur la figure,
Et quand le malheur vient y mettre un creux de plus
Parmi tant d’autres creux il passe inaperçu.

La fatigue, Monsieur, c’est un prix toujours juste,
C’est le prix d’une journée d’efforts et de luttes.
C’est le prix d’un labeur, d’un mur ou d’un exploit,
Non pas le prix qu’on paie, mais celui qu’on reçoit.
C’est le prix d’un travail, d’une journée remplie,
C’est la preuve, Monsieur, qu’on marche avec la vie.

Quand je rentre la nuit et que ma maison dort,
J’écoute mes sommeils, et là, je me sens fort ;
Je me sens tout gonflé de mon humble souffrance,
Et ma fatigue alors est une récompense.

Et vous me conseillez d’aller me reposer !
Mais si j’acceptais là, ce que vous me proposez,
Si j’abandonnais à votre douce intrigue…
Mais je mourrais, Monsieur, tristement… de fatigue.

Nous sommes du futur

Très belle vidéo, qui illustre la magie de la vie…

Voici le texte en anglais et une traduction (à ma manière, j’ai juste changé 2-3 tournures de phrases). Merci à Christophe d’avoir ajouté les sous-titres en français à la vidéo.

“Greetings… We are from the future. Everything is going to be alright. The future is a beautiful place… But you will need some training in order to inhabit it.

“Bienvenue !… Nous sommes du futur. Tout va bien se passer. Le futur est un endroit magnifique… mais vous aurez besoin d’un peu d’entraînement pour l’habiter. 

In the future, technology evolves faster than any human mind can think. When the singularity occurred, we became like gods – able to create entire worlds in the blink of an eye.

Dans le futur, la technologie évolue plus vite que la pensée de n’importe quel être humain. Lorsque la singularité est survenue, nous sommes devenus comme des dieux – capables de créer des mondes entiers en un clin d’œil.

Every thought had drastic immediate impact. All of our dreams became a reality – but so did our nightmares. The future became a battle of ideas. We had to learn to direct our minds – to prevent dark psychological forces – from destroying all of us. Now with every new world we create, we summon the sacred imperative of mind… “Let there be Light.”

Chaque pensée a eu un impact radical et immédiat. Tous nos rêves sont devenus réalité – mais nos cauchemars aussi. L’avenir est devenu une bataille d’idées. Nous avons dû apprendre à diriger notre esprit – pour empêcher les forces psychologiques sombres de tout détruire. Maintenant, à chaque nouveau monde que nous créons, nous invoquons cette loi vitale et sacrée de l’esprit… “Que la Lumière soit.”

“How can we be from the future?” you might ask. Let us explain. Plants harvest light with near perfect efficiency. But this is impossible under classical physics. Along the way to the photosynthesizing core – photons of light should collide with other particles, but they don’t. A photon succeeding in reaching the core is as likely – as you sprinting blindfolded through a dense forest – reaching the center without striking a single tree.

“Comment pouvons-nous être de l’avenir ?” pourriez-vous demander. Laissez-nous vous expliquer : les plantes récoltent la lumière avec une efficacité proche de la perfection. Mais c’est impossible selon la physique classique. Pour aller jusqu’au coeur de la photosynthèse, les photons de lumière devraient entrer en collision avec d’autres particules… mais cela n’arrive pas. Qu’un photon réussisse à atteindre le coeur de la plante est aussi improbable que si vous sprintiez les yeux bandés à travers une forêt dense et que vous réussissiez à atteindre le centre sans taper dans un seul arbre ! 

Plants are engaged in a kind of miracle. The plant puts the photon into a state of quantum superposition, multiplying it by every route that photon could possibly take. Imagine – blindly sprinting through a forest – being multiplied into every one of the billions of possible paths. If any one of your possibilities were observed hitting a tree, the superposition would collapse – and that would be your final outcome, but the plant patiently refuses to observe any of these casualties – while at it’s heart it continues to sing… “Let there be Light.”

Les plantes sont impliquées dans une sorte de miracle. Elles mettent le photon dans un état de superposition quantique, le multipliant pour chaque itinéraire que le photon pourrait prendre. Imaginez : vous sprintez en aveugle à travers une forêt et vous êtes multiplié par chacun des milliards de chemins possibles. Si l’une de vos possibilités s’avère être de frapper un arbre, la superposition quantique s’effondrerait et ce serait la fin de votre chemin… Mais la plante refuse patiemment de s’attarder sur ces accidents – tandis que, dans son cœur, chante encore… “Que la Lumière soit.”

When any of the possibilities finally reaches the core without fail, only that winner is observed. All the other possibilities disappear. The winner is transmitted back through time – from the future – and becomes the only possibility that ever existed. This is how photons reach the plant’s core with impossible precision. This is how you – and every organism in existence – overcame the massive improbabilities of life. – This is how we are from the future. This is how you will become the light of the world… as we invoke the sacred imperative together… “Let there be Light.”

Lorsque l’une des possibilités atteint finalement le coeur sans échouer, seul ce chemin gagnant est pris en compte. Toutes les autres possibilités disparaissent. La voie gagnante est retransmise à travers le temps – donc, à partir de l’avenir – et devient la seule possibilité qui ait jamais existé. Voici comment les photons atteignent le cœur de la plante avec une précision impossible. Voici comment vous – et chaque organisme dans l’existence – vous surmontez les immenses obstacles de la vie. – Voilà ce qui fait que nous sommes de l’avenir.

Ceci est la voie par laquelle vous allez devenir la lumière du monde… alors que nous invoquons ensemble la loi sacrée… “Que la Lumière soit.”

-oOo-

Ps : pour les curieux, voici un article du UCL (University College London) sur l’implication de la physique quantique sur la photosynthèse, à lire ici.

Êtes-vous dans PI ou le Nombre d’Or ?

piJe parle en formation “Hypnose Humaniste” des nombres univers, comme le célèbre Pi (3,14159…). Il semblerait qu’il soit possible de trouver au sein de ces nombres hors du commun – aux dimensions titanesques et probablement infinies – l’intégralité de ce qui existe (toutes suites finies de chiffres, même immenses), donc comme votre nom (en numérique), votre date de naissance, votre musique préférée, les passages cultes de votre film favori ou votre biographie complète ! Oui oui… même les versions modifiées… c’est juste incroyable !

Un ordinateur surpuissant permettrait de retrouver dans ces nombres infinis le codage numérique d’une symphonie complète ou celui de vos dernières photos de vacances (et même celles des prochaines) !… Ce qui se comprend, puisqu’un “nombre univers” est probablement infini : il doit donc forcément contenir toutes les suites possibles de chiffres – sans quoi, on aurait la preuve que les nombres univers ne sont pas infinis !

Ce qui est étonnant, aussi, c’est que de tels nombres existent (comme la racine carré de 2 ou le Nombre d’Or) et qu’on les connaisse… Ce sont comme de petits morceaux du code caché de la Vie !

A propos, “P.I.” est aussi l’abréviation de “Pure Information” : la Conscience ! 🙂

Alors, les sites internet sur Pi ne permettent pas de chercher dans tout le nombre Pi, mais seulement dans ses premiers millions de décimales (selon les sites).
Voici deux bons liens pour vous amuser :

Par exemple, ma date de naissance (12121970) apparait ici dans Pi :

431589418802974268561212197049582239707618997922
43158941880297426856^<– 29.982.748ème décimale

Si je chiffre mon nom (“Lockert”) en suivant la position des lettres de l’alphabet (A=1, B=2, C=3, etc.), cela donnera un nombre trop grand pour apparaître sur les sites internet (121531151820). Il serait bien dans Pi, mais trop loin pour les sites Internet.
Mais je peux réduire ce nombre en choisissant une base de 9 (A=1, B=2… I=9, J=1, K=2…). Je n’aurai pas les zéros, mais le nombre sera plus court, donc plus probable dans le début de Pi (donc accessible sur les sites internet). “Lockert” donnerait alors “3632592” et on le retrouve ici, dans Pi :

92210277138699037788363259251974629544606587857
92210277138699037788^ <– 25.759.113ème décimale

Le codage importe peu, puisque toutes les possibilités existent forcément dans un nombre infini (sinon, il ne serait plus “infini” !). Par exemple, si je prends plutôt une base de 10 (en comptant le zéro après le 9), “Lockert” donne alors “2531580” et il est ici dans Pi :

03536838600438538125253158074393775159737435661
03536838600438538125^ <– 18.724.862ème décimale

On pourrait chercher des choses plus longues : des phrases entières, l’encodage d’un morceau de musique… ou d’une photographie !! Bien sûr, ce serait trop long pour être retrouvé sur les sites Internet, mais c’est tout de même ahurissant !! Puisque l’on retrouve forcément tout dans un nombre univers (comme Pi), la photo de votre naissance (sous forme numérique) se retrouve quelque part dans cette incommensurable suite de chiffres… tout comme la photo de votre rentrée des classes à 11 ans… celle de l’anniversaire de vos 50 ans… ou le cliché pris pour votre enterrement.

Il y a dans Pi la description de ce que vous avez fait aujourd’hui… et de ce que vous auriez pu faire si (vous aviez pris telles ou telles autres décisions)… La description de l’univers de tous vos possibles et la description de tous les possibles d’un univers sans vous aussi 😉

Eh oui, car comme déjà écrit en début d’article : si on pouvait trouver une chose qui ne soit PAS dans Pi, alors on saurait qu’il n’est pas infini… Pour l’instant, on cherche, mais l’infini, il est difficile d’en trouver la fin !!
Ce qui répond à une question philosophique : “Oui” tout est écrit “Mais” dans un ensemble infini de réponses possibles ! Donc, toutes réactions, tous choix, toutes possibilités (et impossibilités) sont là, à disposition… Alors, oui, vous êtes libre. Tout est écrit ET vous êtes libre.

-oOo-

Vous pouvez aussi jouer à vous découvrir dans cet autre “nombre univers” qu’est le Nombre d’Or, sur le même site, de la même manière : cochez “Phi” dans la case “Constant”… mais cette fois, la base de données ne fait “que” 500 millions de décimales ! (Donc, on a moins de chances d’être dedans)
Et voilà :

08624095039649141272363259227494583635437172509
08624095039649141272^ <– “Lockert” est à la 5.852.824ème décimale

Amusant de se retrouver dans le Nombre d’Or, non ? 😉

C’est grand, l’infini !!!

>> Lisez aussi cet article, complémentaire…

La parole crée

On sait que l’hypothalamus, petit système de glandes au coeur de notre cerveau, est le “transducteur” (transformateur) des sons, images, etc. en influx cérébraux. Lorsque vous parlez à quelqu’un, c’est l’hypothalamus qui se charge de transporter vos paroles au sein du cerveau de la personne.

L’hypothalamus est aussi le système qui régule des fonctions majeures du corps (sommeil, appétit, forme physique, etc.). On comprend alors qu’avec la parole, comme en hypnose, on a accès “en direct” à l’un des plus importants systèmes de contrôle de notre corps.

Ceci sans compter sur l’aspect mécanique de la parole : c’est une vibration ! Et notre corps tout entier est un assemblage “vibratoire” : la moindre de nos particules vibre, ce qui induit un “état vibratoire” moyen, qui est celui de notre état de santé – d’où l’exercice préliminaire, en Hypnose Humaniste, qui consiste avant toute technique à “augmenter le niveau vibratoire” de la personne. Rien d’ésotérique ou de farfelu là-dedans, lorsqu’on a compris que nous vibrons, comme tout ce qui existe dans l’univers.

C’est ainsi que l’idée de base en hypnose est : “La parole crée” – et c’est aussi la raison pour laquelle on fait beaucoup parler la personne en Hypnose Humaniste (car dans cette pratique, le thérapeute n’est pas celui qui exerce cette profession : c’est la personne elle-même ! Le “thérapeute” tenant le rôle, simple mais tout de même important, de guide).

Maintenant, on ne s’imagine pas forcément l’impact du son sur notre système physique et donc psychologique. Une petite vidéo est plus parlante…

Bien qu’il ne s’agisse que d’ondes simples (on appelle ces sons un peu strident des “ondes carrées”), voyez la beauté qui en émerge.

Imaginez le résultat avec la complexité vibratoire des phrases d’un thérapeute-guide bien inspiré ! On comprend mieux ce qui provoque cet état si particulier, chez le guide, qui fait qu’il offre son accompagnement en rimes ! Toutes les phrases que l’on prononce riment les unes avec les autres. C’est un phénomène curieux à vivre et régulier en consultation ou en guidance de groupes, en Hypnose Humaniste, mais que je n’arrive pourtant pas à reproduire à l’écrit pour en donner l’exemple dans mes articles ou mes livres… Sorry ! 😉

« Le son in-forme. Il est porteur d’information. » Andreas Freund, physicien quantique

Et si vous êtes branché Hypnose Humaniste, vous savez que la Conscience est faite d’information. Elle en est la source. La parole lui sert donc de porteur.

La vie est magique, je trouve… 🙂