La « Thérapie Symbolique Simple » (TSS), qui est la technique principale en Hypnose Humaniste,. Elle consiste, comme son nom l’indique, à agir sur un symbole qui aura été identifié comme représentation de la cause profonde, émotionnelle ou psychologique, du souci de la personne.
Bien sûr, d’autres formes de thérapie ont dû ou doivent encore utiliser les symboles pour tenter d’aider la personne, psychologiquement. Mais en Hypnose Humaniste (HH), ce n’est pas vraiment de cela qu’il s’agit – puisque l’on veut une action “informationnelle”, donc pas au niveau de l’Inconscient (niveau biologique) mais sur la Matrice (le champ d’information de la personne).
Évidemment, pour bien comprendre le niveau d’intervention de l’HH, il faudrait déjà savoir ce qu’est l’HH, quelle est sa cosmologie, ce que représentent en réalité les symboles rencontrés en “état de conscience augmenté”, etc. C’est bien compliqué pour des gens qui ne souhaitent que copier une technique simple et efficace, sans réfléchir plus que ça (sinon, ils feraient de l’HH 😉 ).
Ne connaissant pas les spécificités de l’HH, et/ou n’ayant pas compris la particularité du travail en « état de conscience augmenté », il est tentant de reproduire simplement le protocole de la TSS humaniste… mais sans réel état d’hypnose (action consciente, imaginaire) ou alors en hypnose dissociante (l’hypnose habituelle) donc en restant au niveau inconscient, émotionel “biologique”.
Ce n’est pas du tout le niveau d’intervention de l’HH (informationnel), et cela n’aura donc qu’un effet superficiel, ordinaire, propre à la psychothérapie courante – avec les limites et les soucis qui lui sont inhérents (lenteur, vécus douloureux, résistances, homéostasie, etc.)… Et on sera incapable de reproduire ce qui est atteint en Hypnose Humaniste.
C’EST LA MODE…
Aujourd’hui, la plupart des « gourous » actuels en Hypnose en sont venus à plagier les techniques HH pour les incorporer à leurs propres formations (et livres, parfois)…
Même ceux qui étaient autrefois réfractaires, “pour ne pas faire de publicité à l’HH” (oui, car c’est malheureusement toujours commercial, ces choses-là : on est loin d’un idéal de “belles personnes œuvrant pour l’Humanité” !) parlent maintenant de thérapie symbolique et même de conscience, parfois… Mais toujours en hypnose habituelle, donc dissociée, ou en “méditation” (sans état d’hypnose ou sans le dire)… Donc complètement à côté de ce que l’on fait véritablement en HH, en conscience augmentée.
# En Hypnose Classique et Nouvelle Hypnose : on peut faire symboliser par exemple sa douleur au patient (qui est en état d’hypnose)… et on lui demande ou on lui suggère de modifier ce symbole, comme dans une métaphore. Cela fonctionne très bien, et cela existe depuis toujours en Hypnose Classique. On appelle cela un « travail métaphorique » et c’est effectivement courant pour produire une analgésie (diminuer ou supprimer la douleur). On agit sur la perception du cerveau, ici de la douleur.
C’est très efficace… mais… 1/ ce n’est pas du tout ce que l’on fait en Hypnose Humaniste et 2/ cela prend « un certain temps » pour être efficace… Attention, c’est tout de même rapide, mais il y a un temps nécessaire : par exemple quelques dizaines de secondes ou quelques minutes pour une analgésie… Et, il peut y avoir de la résistance ou le besoin de répéter la technique, pour les soucis d’ordre psychologique.
Le principal souci est structurel : en pratiquant ainsi, on demande à la personne de symboliser son souci. Sur une douceur, si vous êtes médecin, pourquoi pas ? Mais si vous êtes psy et que vous agissez sur un symptôme psychologique, ce serait une grave erreur.
Prenons comme exemple simple une migraine : j’imagine que cela me fait comme un étau, je desserre l’étau, je vais mieux… Mais ce n’est pas ce que l’on fait en HH !
Réfléchissez : si desserrer un étau imaginaire me soulage de ma migraine, alors c’est bien la preuve que j’ai réellement un « étau ». En le desserrant, je confirme cet étau : ça m’a fait du bien donc il existe vraiment !… La bonne nouvelle, c’est que j’ai trouvé une manière de soulager mes migraines… La mauvaise, c’est que désormais, j’ai un « étau » dans la tête, à vie. J’ai stabilisé et renforcé la source de mes migraines !… Bravo ! 🙁 (Alors qu’en HH, vous travaillerez sur la source des migraines, donc vous n’aurez plus de migraines, du tout).
# En Hypnose Ericksonienne : Erickson n’a jamais fait symboliser quoi que ce soit à ses patients. Il n’y a aucune trace d’une telle pratique dans ses livres et les nombreux cas publiés par Erickson. Donc, contrairement à ce que certains prétendent (lire plus bas au sujet de la “réification”, une TSS déguisée et mal faite, faussement attribuée à Erickson), il n’y a aucun travail symbolique en Hypnose Ericksonienne.
# En Hypnose Humaniste, on amène la personne en « état de conscience augmentée », donc au plus proche de sa Conscience, qui est considérée comme un champ d’informations, au sens physique (c’est-à-dire « tel qu’expliqué par la science Physique »).
La personne se met donc à percevoir son propre « champ d’informations », qui est bien trop immense pour son cerveau, qui « résume » donc sa perception par une « image » : un symbole – ce qui pourrait être pris pour de l’imagination (au sens de “ça n’a pas de réalité”), sauf qu’en HH, ce symbole est considéré comme la perception d’un champ réel, donc pas « imaginaire » du tout !
Le symbole est alors le « masque », la couche superficielle, apparente, d’une réalité plus vaste : le champ d’informations à l’origine de ce qui arrive à la personne.
– En hypnose médicale, la personne dissociée attribue à sa douleur une représentation, comme une brulure, un feu, une lame, un objet agressif (coupant ou pointu par exemple)… C’est l’expression de ses émotions, de son ressenti – donc seulement des choses organiques, psychologiques.
– En hypnose dissociante habituelle (classique, nouvelle), par exemple pour son stress ou ses migraines, la personne fera la même chose : elle exprimera sous forme de symbole son ressenti, ses émotions. Le symbole exprime ce que vit son Inconscient… Ce n’est pas du tout la “cause” du souci, mais l’expression de ce qui se produit dans la personne, une conséquence.
– En Hypnose Humaniste, la personne associée, en conscience, perçoit le champ d’informations qui est à l’origine de ce qu’elle vit (ce qui provoque alors le ressenti, son émotion ou sa douleur). La personne est en contact avec la cause de ses soucis, le « moule » qui donne forme à ses problèmes. Souvenez-vous : « information » = « informare » en latin : « ce qui donne forme ».
Puisque son cerveau ne peut appréhender d’un coup les millions d’informations qui “donnent forme” à son souci, elle en perçoit un “aspect superficiel”, un “masque” : un symbole ! Mais il ne s’agit pas du tout du symbole simple, réaction de l’Inconscient. Vous comprenez qu’on est alors en contact avec un champ d’informations immense. Cet amas d’informations (“Objet Informationnel”) qui force sa vie, c’est ce que l’on appelle un « maître-symbole » : c’est le moule a l’origine du vécu de la personne. Nous ne sommes plus du tout au niveau de l’Inconscient – très très loin de là !
Le physicien Bernard d’Espagnat explique clairement que « les Idées de Platon ne sont pas dans l’espace-temps ; elles existent indépendamment de l’esprit humain et sont les causes des phénomènes ».
En d’autres mots : il existe des champs d’informations non-locales qui engendrent notre réalité perçue, matérielle autant que psychologique (Idea en grec veut dire la forme, comme le informatio latin, créer, donner forme, qui a donné le mot “information”).
Pour le biologiste Rupert Sheldrake, le prix Nobel de physiologie Christian de Duve ou le paléontologue Simon Conway-Morris, l’évolution serait « canalisée » par ces « formes platoniciennes », autrement dit par des objets fait d’informations agglomérées (les Objets Informationnels, ce que l’on perçoit comme des symboles, quand on est en conscience augmentée).
D’après ces scientifiques, les champs informationnels existent autant pour des objets matériels ou symboliques (cercle, carré, triangle) que vivants. Donc, de même que tous les carrés sont des projections diverses et variées de l’archétype « Carré », les érables sont la projection de l’archétype « Erable », comme les moineaux sont la projection de l’archétype « Moineau », les humains la projection de l’archétype « Humains », etc.
Ainsi, la joie vient donc d’un champ d’Information décrivant la « Joie », et vous ne pourriez pas vous mettre en colère si vous n’en aviez pas l’idée (idea = information) : il existe donc un champ décrivant la « Colère » comme chaque émotion et chaque chose physique ou psychologique.
C’est ce qu’expliquait Leibniz : il existe autant de champs qu’il existe de choses créées… des plus belles aux plus sombres (les “monades” qui façonnaient à elles toutes la Monade, unique).
En manipulant ces champs d’Information (que l’on perçoit en HH comme des symboles), on peut modifier à sa guise l’expression concrète desdits champs ! C’est ainsi que fonctionne la Thérapie Symbolique, outils principal de l’Hypnose Humaniste, aux résultats spectaculaires.
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ET LA “RÉIFICATION”, qu’est-ce que c’est ?
Du coup, ça n’a rien à voir du tout avec la Thérapie Symbolique de l’Hypnose Humaniste !
D’après la personne qui cherche à populariser le terme « réification », ce serait « une technique d’hypnose bien connue » mais, bizarrement, il est impossible d’en trouver la trace dans les livres d’hypnose, de son origine en 1841 à nos jours, classiques ou éricksoniens…
Quoi qu’il en soit, il s’agirait de transformer une pensée, une émotion ou un ressenti corporel en un objet imaginaire, sur lequel la personne pourra ensuite agir. Cela ressemble à ce dont on parlait plus haut, à propos d’agir sur l’expression symbolisée d’un souci (comme la migraine ou une douleur).
En fait, « réifier » est le verbe qui désigne le fait de « donner les caractéristiques ou transformer en chose ce qui ne l’est pas ». A l’origine, c’est un terme psychiatrique pour les personnes qui ont perdu l’empathie envers les autres êtres vivants. On parle aussi de « chosification » : comme un politicien qui dit « la population » (réification) au lieu de « les gens qui peuplent le pays » (des êtres pensants et sensibles).
Il est plus facile, émotionnellement parlant, pour le politicien, de contraindre une chose (la « population ») plutôt que de vraies personnes qui peuvent souffrir des décisions prises…
A l’extrême, un psychopathe « réifie » / « chosifie » les gens qu’il côtoie. Il ne les prend plus que comme des objets, dont il peut abuser sans états d’âme (sauf que pour le psychopathe, c’est une maladie : il ne l’a pas fait exprès, pour se déculpabiliser…).
« Réifier » pourrait donc aussi être attribué, par extension, au fait de considérer une idée abstraite ou une émotion comme un élément concret : leur donner un caractère statique ou figé (donc modifiable) pour l’utilisation en thérapie. Par exemple, une personne qui se sent oppressée dira que « ça lui pèse ». Et si on lui demande de préciser, peut-être décrira-t-elle ce poids (émotionnel) comme « une plaque métallique, épaisse et sombre », posée sur sa poitrine. Et on rejoint l’exemple ci-dessus avec la migraine…
Et d’où sort cette “réification” ?
A priori, c’est un nom inventé par une seule personne, pour désigner une pratique qui existait bien avant : le fait de symboliser une émotion en thérapie… Mais puisqu’il y a des rumeurs mélangeant ou confondant cette fameuse réification et la TSS de l’Hypnose Humaniste, voyons quelques dates
– La première trace d’une « réification » en tant que technique thérapeutique se trouve dans un article sur l’auto-hypnose qui date de 2000. La TSS était alors enseignée depuis 5 ans à l’IFHE et le protocole figurait dans le livre « Hypnose » sorti “curieusement” la même année 2000 (ben ça alors ? 😉 )…
– En 2006 est publié le livre « Hypnose Humaniste », 520 pages, qui décrit le protocole avancé de la TSS (tel qu’il est enseigné en Maître-Praticien HH, à l’IFHE)… Et l’on retrouve certaines étapes de ce protocole dans un article de 2009 – lequel article est repris partout où l’on parle de « réification » (puisque c’est la seule source connue).
Cela ressemble donc à un premier plagiat, comme il en existe de nombreux autres aujourd’hui.
Mais que ce soit une technique d’hypnose propre à une personne, découverte “par hasard” une fois les livres HH publiés, ou que cela soit un énième détournement des techniques HH, finalement peu importe… car il ne s’agit pas du tout de ce que l’on fait en Hypnose Humaniste, pour la simple et bonne raison qu’en HH on travaille sur le « champ d’information » (lire ci-dessus) et pas sur un symbole (objet imaginaire) issu de l’Inconscient – ce qui explique la grande différence d’effet entre les deux pratiques.
LES PARTICULARITÉS DE LA TSS
Donc, en résumé :
# En Hypnose habituelle : je visualise mon symbole (j’ai « réifié » ma douleur par exemple, ou mon émotion)… Je choisis quoi en faire… (là, j’ai toujours mal)… donc je fais ce que j’ai choisi de faire… (cela peut prendre un petit moment, il faut parfois répéter plusieurs séances)… Et au final, ma douleur ou mon émotion s’apaise.
J’ai agi sur l’expression de mon souci, le ressenti de mon être profond, inconscient – sans toutefois en nettoyer la cause (si c’est une douleur, peu importe, car cela guérira tout seul, mais si c’est psychologique, cela peut être un souci…). Comme si j’avais “coupé le sifflet” d’une cocotte-minute en ébullition, mais sans arrêter le feu dessous.
De plus, la cause réelle (informationnelle, selon l’HH, le “moule”) existant toujours, le souci peut revenir : eh oui, j’ai arrondi le gâteau, mais le moule est toujours carré… Quelle forme aura mon gâteau dans 2-3 jours, quand la nature reprendra son cours ?
# En Hypnose Humaniste : comme je suis en « état de conscience augmenté », ce que je perçois de mon souci n’est pas un simple symbole issu de mes ressentis, émotions, perception, etc. donc quelque chose qui provient de mon être profond (mon corps, mon Inconscient). C’est le maître-symbole, le champ informationnel (“moule”) à l’origine de mon ressenti.
Ce Maître-Symbole peut avoir la même forme que mon symbole inconscient (comme le moule et le gâteau se ressemblent forcément), mais le Maître-Symbole est fondateur / originel, puisqu’il est la source de ce que vit la personne (comme le moule donne forme au gâteau)…
Donc, en HH, je suis en “état de conscience augmenté”, j’ai l’idée de ce qui me cause souci… et j’ai ensuite l’idée de ce que je veux faire… et… Oh surprise !!!… Je n’ai plus rien !!!! La douleur (ou l’émotion) est partie !!! L’idée de la chose réalisée suffit : elle s’est accomplie d’elle-même, par le fait même que j’ai reçu cette nouvelle idée (nouvelle forme, nouveau “moule”) en moi – sans latence (aucun temps d’attente).
Car « l’idée » (idea, en grec) est similaire à « information » (informare, en latin : ce qui donne la forme aux choses). Ce que votre Conscience conçoit, elle le réalise (« rend réel »), instantanément… si vous êtes en état de conscience augmenté, donc « associé » ! Donc, en HH ! 🙂
Voilà ce qu’est la « Thérapie Symbolique simple » en Hypnose Humaniste.
Quand le sujet est difficile ou la douleur conséquente, la personne devra agir en conscience sur le symbole perçu (en fait, vous l’avez compris, un Maître-Symbole, puisqu’on est alors à un niveau informationnel). Donc, pour des soucis petits ou moyens, y penser suffit (si on est bien en état d’hypnose HH !). Et pour les gros soucis, il faudra modifier activement le symbole. Mais le résultat sera toujours immédiatement ressenti par la personne – puisque c’est elle qui agit, sur elle-même, seulement guidée et soutenue par l’hypnothérapeute humaniste (pas d’ingérence, pas de suggestion, pas de perte de conscience : rien de tout cela !).
Autre différence (et non des moindres !)
Il n’y a plus de résistance : l’homéostasie, la faculté d’un organisme à préserver son équilibre, même si celui-ci est négatif… et que certains psys qualifient de « résistance »…
La « résistance » provient du fait de « modifier le gâteau » (agir sur l’Inconscient, par l’intermédiaire d’un simple symbole comme dans n’importe quelle séance d’hypnose) sans avoir modifié le « moule » : le champ d’information qui « donne la forme », donc à l’origine du maintien de la forme du gâteau (l’homéostasie : la capacité d’un individu à conserver son équilibre physiologique ou psychologique).
Vous arrondissez un triangle car ses pointes vous blessent ? Mais demain, le triangle est revenu, aussi pointu qu’avant… car le « moule » (informationnel) n’a pas changé ! Le moule “Triangle” a redonné sa forme au gâteau : triangulaire… Il faut donc refaire et refaire la technique, encore et encore, jusqu’à ce que l’information « remonte » (biofeed-back) et modifie le « moule » informationel.
La nature fait cela tout le temps, c’est normal (c’est le mécanisme de l’adaptation et donc de l’évolution)… Mais cela prend du temps, ce qui n’arrivera pas si on travaille au niveau du moule, de ce « qui donne la forme » (informationnel).
En Hypnose Humaniste, vous arrondissez directement le « moule » : le gâteau change alors instantanément de forme (puisque son moule est maintenant différent)… Et il reste ainsi (puisque son moule a été changé) !… Pas de résistance, et une nouvelle homéostasie (ça garde la forme, mais la nouvelle, pas l’ancienne, qui a disparu ou évolué)…
Mais… il faut faire tout cela au niveau informationnel, lequel est inaccessible au thérapeute (à moins qu’il ne se prenne pour Mme Irma, avec des pouvoirs de voyance 😛 ).
Seule la personne peut modifier son propre champ, car elle seule peut le percevoir et agir dessus… Impossible de faire cela en état d’hypnose ordinaire, dissociée, où c’est le thérapeute qui dirige et où le patient est inconscient : tout le contraire de ce qu’on veut en HH !… Donc, « état de conscience augmenté » obligatoire.
On ne peut donc pas faire de « thérapie symbolique », au niveau où on le fait en Hypnose Humaniste (sur l’information, la source, le maître-symbole) en hypnose habituelle (dissociée) et encore moins sans hypnose !
Voilà, vous en savez plus sur la Thérapie Symbolique Simple (TSS) de l’Hypnose Humaniste.
J’espère vous avoir aussi donné l’envie de vous former à cette belle pratique, autant pour aller mieux dans votre vie, durablement, que pour vivre mieux, au quotidien, en étant plus pleinement en contact avec “la plus belle part de vous-même” (votre Conscience supérieure) et en suivant le chemin qui est le vôtre.